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sexta-feira, 19 de abril de 2013

Résumé du livre "Le Comte de Monte-Cristo", de Alexandre Dumas


Edmond Dantès est un marin qui arrive à Marseille à bord du Pharaon, le navire de l'armateur Morrel. Leclère, le capitaine du navire, est mort durant le voyage, et Morrel promet de nommer Edmond Dantès capitaine. Il est très heureux parce qu’il va se marier avec Mercédès, une belle fiancée catalane. Mais il a certains ennemis: Danglars, le comptable, qui veut être le capitaine du Pharaon, et Fernand, qui est amoureux de Mercédès.
Fernand et Danglars préparent un plan pour prendre Edmond loin de leur chemin: ils falsifient une lettre de Edmond Dantès pour le faire passer pour un adversaire du gouvernement. Il est arreté pendant son repas de fiançailles et emprisionné dans l’horrible château d’If.
Dans le château, Dantès est enfermé dans un cachot. Il ne cesse de crier son innocence, mais en vain. Il a même tenté de se suicider, et attend simplement la mort. Pourtant, pendant quelques jours, il écoute un bruit qui vient du mur contre lequel il est couché. En raison d’une erreur de calcul, le tunnel se termine à la cellule d’Edmond et, ainsi, il connaît l’abbé Faria, un prisioner depuis 1811 qui creuse un tunnel pour tenter s’echapper du château. Dantès découvre que Faria est très intelligent: il parle plusieurs langues, connaît les mathématiques, l’economie, etc. Le marin lui demande de lui apprendre tout qu’il sait. En outre, l’abbé révèle son secret à Dantès: il a une carte qui mène à un immense trésor dans l’Ile de Monte-Cristo. Ils décident de fuir ensemble, mais Faria meurt et Edmond s’echappe du château d’If quand il est jeté à la mer après entrer vers le sac où était le corps de son ami.
Libre à nouveau, et après plusieurs péripéties, il arrive à l’Ile de Monte-Cristo et devient riche. Quand il revient à Marseille, Dantès apprend que Mercédès est maintenant la femme de Fernand Mondego, qui s’appelle le Comte de Morcerf. Edmond Dantès est prêt à prendre sa revanche sur tous ceux qui ont fait du tort à lui.
Pour se rapprocher de ses ennemies, il change son identité pour Le Comte de Monte-Cristo. Il apprend que Fernand a trahi son protecteur à Janina en change d’un grand somme d’argent, et pour obtenir le titre de noblesse. Il va a jugement et Haydée, une belle jeune femme qui habite chez Edmond, reconnaît Fernand Mondego comme le traître de son père. Il se suicide et Mercédès quitte la ville avec son fils.
Puis, il retrouve le comptable Danglars, maintenant baron et banquier. Monte-Cristo utilise la cupidité de Danglars pour le ruiner. Enfin, après avoir terminé sa vengeance, il laisse la place à l’amour et parte en voyage avec Haydée.
Le livre présente une histoire sensationelle de vengeance, de surmontant e de l’intelligence. Il y a beaucoup de detailles, quoique il n'est pas aussi dinamique comme le film. L'intrigue est assez clair, et les événements sont bien connectés. C'est un travail merveilleux!

Texto: Thiago dos Santos

Postado por: Douglas Ribeiro de Moura

sexta-feira, 29 de março de 2013

La Gastronomie Enseigne l’Art de Vivre en Société



La Gastronomie Enseigne l’Art de Vivre en Société

            Généralement avec des amis ou avec la famille, le moment du repas est l’heure de la journée où l’on peut retrouver nos proches et avoir un moment de distraction et de rassemblement  pendant que nous profitons ensemble d’une activité très agréable et que tout le monde aime: manger !
            C’est en quelque sorte un moment plus intime que l’on ne partage pas avec n’importe qui. Même si nos journées sont très chargées, nous trouvons au moins un jour dans la semaine pour partager un repas avec quelqu'un que nous aimons. En mangeant on parle de notre journée, notre quotidien, nos plans, on discute sur le climat, les sports, les événements récents, c’est le moment pour bavarder (au moins dans les cultures que je connais car cela peut être différent dans d’autres).
            On peut dire que la gastronomie rassemble les gens. Dans presque tous les événements sociaux de presque toutes les cultures du monde, la nourriture a un rôle très important. Que ce soit une fête d’anniversaire, une petite réunion avec les amis proches, une réunion familiale, des festivités religieuses, où il y a des gens ensemble il y a de la nourriture.
             « Vous êtes ce que vous mangez ! » Une très célèbre phrase concernant les habitudes alimentaires des gens et leur santé. Mais par rapport à la culture des gens, je dirais encore plus: « Vous êtes ce que vous mangez et comment vous le mangez ! » On peut dire que l’on apprend beaucoup sur la culture des gens si on comprend leurs habitudes à la table.
            Les façons de mener un repas sont les plus variées autour du monde. La manière de préparer les plats, de les manger, les règles (ou le manque des règles) d’étiquette à la table, la consommation de boissons, le rôle des saveurs, les interactions sociaux et beaucoup d’autres choses qui peuvent concerner une activité toute simple comme manger, tout cela peut être expliqué par la culture des gens qui sont à la table.
            Parfois les tradictions sont si fortes que l’on peut se demander, c’est la culture qui définit les habitudes alimentaires ou ce sont les habitudes qui définissent la culture ? Quoi qu’il en soit, on sait que les repas ont un rôle significatif dans les cultures et c’est peut-être  la meuillere façon d’apprendre sur un pays et sur l’art de vivre en société.

Texto de Rafaela A. Felipe

Postado por: Douglas Ribeiro de Moura

domingo, 23 de dezembro de 2012

Irène Némirovsky: une ambigüité fascinante et dérangeante - III


Por fim, a última parte do texto sobre Irène Némirovsky.


Un auteur visionnaire: La lecture de ses romans nous fait redécouvrir une écriture policée, exprimant une sensibilité à fleur de peau, avide de réveiller notre propre sensibilité. En même temps la construction de ses récits ainsi que nombre de digressions, d'éclairages, voire d'expressions, montrent combien elle peut avoir du recul par rapport aux faits évoqués notamment les faits de guerre. Ses récits ont un côteé visionnaire et fonctionnent de façon troublante comme si l'observateur nous était contemporain, connaissait la suite et avait une capacité d'analyse. C'est le cas dans "Une suite française" dont le manuscrit avait été confié par Irène Nemirovsky à ses filles peu avant sa déportation. Sous l'impulsion d'une journaliste, celles-ci le publièrent en 2004 et permirent la redécouverte de la romancière.

L'Histoire rattrape la littérature: Malgré tous ses efforts pour s'extraire de son judaïsme, pour obtenir la nationalité française et se hisser dans des sphères où elle pensait que son oeuvre d'écrivain la protégerait de la tournure que prenait l'Histoire, elle fut arrêtée en juillet 1942 et déportée à Auschwitz où elle mourut. Ses positions équivoques et controversées lui valurent fatalement un purgatoire littéraire. Pourtant, si Irène Némirovsky n'avait pas connu cette fin tragique, elle aurait sans doute apporté un témoignage puissant sur la France de l'occupation, le collaborationnisme et la Shoah. Mais, à l'instar de ses précédentes oeuvres, elle aurait peut-être décrit, de son écriture délicate et pourtant incisive, un monde où les jugements ne sont pas dogmatiques où les personnages ne sont pas manichéens et où la littérature peut révéler la part d'humanité qui reste en l'homme envers et contre tout.  

                                                                                                                                                                                              Nadine Thirault.

Sources:

- Lecture des oeuvres d´Irène Némirovsky: “Le Malentendu” “David Goldes” “Bal” “Dimanche et autres nouvelles” “ Une suite française”

L´article de Pierre Assouline : “la revanche posthume”; Le Monde  du 16 octobre 2007. 


Bibliographie

 ɶuvres publiées de son vivant:

Le Malentendu, 1923.
L’Enfant génial, Fayard, 1927. Le roman fut renommé Un Enfant prodige em 1992 par l’éditeur avec l’accord de ses filles.
David Golder, Grasset, 1929.
Le Bal, Grasset, 1930.
Les Mouches d’automne, Grasset, 1931.
L’Affaire Courilof, Grasset, 1933.
Le Pion sur l´échiquier, Albin Michel, 1934.
Films parlés, NRF, 1934. Deux nouvelles de cette collection, Ida et La Comédie bourgeoise, seront publiées dans Ida (“Folio 2”, Denoël, 2006).
Le Vin de solitude, Albin Michel, 1935.
Jézabel, Albin Michel, 1936.
La Proie, Albin Michel, 1938.
Deux, Albin Michel, 1939.
Les Chiens et le loups, Albin Michel, 1940.

ɶuvres publiées après sa mort:

La vie de Tchekov, Albin Michel, 1946.
Les Biens de ce monde, Albin Michel, 1947.
Les Feux de l’automne, Albin Michel, 1957.
Dimanche et autres nouvelles, 2000.
Destinées et autres nouvelles, 2004.
Suite française, 2004, prix Renaudot 2004.
Le Maître des âmes, Denoël, 2005.
Chaleur du sang, Denoël, 2007.
Les vierges et autres nouvelles, Denoël, 2009.
Nonoche. Dialogues comiques, éd. Mouck, 2012.


Postado por: Douglas Ribeiro de Moura.

sexta-feira, 23 de novembro de 2012

Irène Némirovsky: une ambigüité fascinante et dérangeante - II


A seguir, a segunda parte do texto da autora Nadine Thirault:



Une place ambigüe dans l’entre-deux guerres: Pendant la montée du nazisme et jusqu’après la seconde guerre mondiale, on lui reprocha de s’être rapprochée de la droite antisémite et de voulouir nier ses origines juives, allant jusqu’à se convertir au catholicisme en 1939. On trouva que son œuvre était empreinte d’antisémitisme car certains des héros juifs qu’elle dépeint sont décadents et détestables. Elle collabora également avec des jornaux d’extrême droite. Mais la lecture de son œuvre laisse à penser que ses intentions sont plus complexes qu’il n’y parait; son œuvre atteste plus d’une volonté d’exprimer une libre pensée provocante que d’un parti-pris férocement antisémite. La nouvelle intitulée “Fraternité” et extraite du recueil “Dimanche” confirme cela. Elle y raconte la recontre fortuite de deux juifs portant le même nom, l’un, riche, voulant se fondre dans la bourgeoisie française et cachant ses origines juives et l’autre , pauvre, n’ayant de richesse que l’Histoire du peuple juif. On pourrait penser que leur identité juive devrait les rapprocher, mais on comprend très vite que le rapport de dominant à dominé imposé par l’argent va les laisser éloignés l’un de l’autre, même si cette recontre éveille un questionnement chez le riche: “C’est de cela que je souffre... C’est cela que je paie dans mon corps et dans mon espirit. Des siècles de misère, de maladie, d’oppresion… Des milliers de pauvres os faibles, fatigués ont fait les miens.” Mais ce questionnement est vite occulté et le personnage se dépêche de se perdre à nouveau dans les fastes de la haute bourgeoisie. La plupart de ses œuvres montre qu’Irène Némirovsky a surtout voulu dépeindre les excès, les travers et en même temps la vacuité de la societé bourgeoise dominée par l’argent, à laquelle elle appartenait et qu’elle décrit comme déliquescente au début du XXème siècle. En même temps ses personnages torturés se débattent souvent avec le sentiment d’être prisonniers de leurs sentiments. Irène Némirovsky fut sans doute personnellement en proie à ce sentiment ambigu d’attachement et de détachement. Cette ambigüité qui nous fascine et nous dérange à divers titres se retrouve aussi dans son écriture à la fois classique et moderne, réaliste et visionnaire.

sexta-feira, 16 de novembro de 2012

Irène Némirovsky: une ambigüité fascinante et dérangeante.

A autora Nadine Thirault escreveu sobre Irène Némirovsky exclusivamente para "O Livrólatra". O texto será dividido em três postagens e a primeira pode ser lida a seguir.


Irène Némirovski connut l'antisémitisme dans son enfance à Kiev, la vindicte de la révolution russe, l'exil. Puis sa vie dorée à Paris, sa réussite en tant que femme écrivain, masquèrent ses peurs intrinsèques et mirent au premier plan une liberté de parole et de points de vue. Son rapport au judaïsme fut très ambigu, fait d'amour et de ressentiment. Malgré son désir éperdu de ne pas être réduite à une religion redoutée comme stigmatisante, elle fut dramatiquement piégée par l'Histoire puisqu'elle mourut en déportation. "Une suite française", son dernier récit, laisse entrevoir ce qu'aurait pu être son œuvre future. Confrontée à la réalité de la guerre, ses peurs semblaient se conjurer peu à peu pour laisser s'exprimer encore devantage une vision sans concession de son époque.

Un auteur surgi du passé: En 2004, les français redécouvraient avec fascination Irène Némirovsky, auteur tombé dans l'oubli, née en 1903 et décédée en déportation à Auschwitz en 1942. Irène Némirovsky était une enfant d'émigrés russes de religion juive qui avaient fui la révolution en 1918. Son enfance à Kiev fut profondément marquée par les pogroms, puis l'exil. Ses publications furent écrites en français, le français étant devenu pour elle comme un autre langue maternelle grâce à sa nourrice française. Pendant l'entre-deux-guerres, Irène Némirovsky eut son heure de gloire et certaines de ses œuvres après avoir été éditée chez Grasset furent même portées au cinéma. "Le Bal", "David Golder".

sábado, 15 de setembro de 2012

Um Teto Todo Seu, de Virginia Woolf


Como resultado de uma opressão histórica acometida por séculos, o final do século XIX e início do século XX viu emergir um incipiente movimento de liberação feminina. O feminismo ganhou diversas formas, como agremiações políticas formadas por mulheres para reivindicar seus direitos e o feminismo artístico, do qual está inserida a grande Virginia Woolf e algumas outras predecessoras das quais ela aclamou em seu livro "Um Teto Todo Seu", publicado em 1929. Antes de começar a comentar sobre o livro, falemos um pouco sobre o movimento feminista.

O feminismo trouxe aos poucos uma série de avanços para as mulheres dentro da sua convivência na sociedade, do qual pode-se destacar o direito ao voto e à propriedade privada - o primeiro sendo alcançado nove anos antes do livro de Virginia vir a ser lançado e o segundo reclamado no mesmo livro -, o direito a salários igualitários, além é claro de autonomia da sua vontade e proteção no que diz respeito à integridade física e moral. E tudo isso reflete em mais um fator específico: a facilitação da possibilidade para a mulher adentrar no campo da arte e da literatura, o que antes era praticamente impossível, visto que devia cuidar das tarefas caseiras, dos filhos e do marido, além de que seu talento era menosprezado e desacreditado.

Este fato, das dificuldades que as mulheres encontravam para exercer o seu talento literário e artísticos é explorado por Virginia na criação de uma figura, Judith, a hipotética irmã de Shakespeare. A autora escreve que Judith tinha os mesmos dons literários que o irmão, a mesma aptidão, só que com um porém: como mulher, deveria estar ocupada com outros afazeres, domésticos, e se tentasse se dedicar a escrever seus versos e suas histórias, seria automaticamente repreendida pelo pai. Virginia escreve:
"Um gênio como o de Shakespeare não nasce entre pessoas trabalhadoras, sem instrução e humildes. Não nasceu na Inglaterra entre os saxões e os bretões. Não nasce hoje nas classes operárias. Como poderia então ter nascido entre mulheres, cujo trabalho começava, de acordo com o professor Trevelyan, quase antes de largarem as bonecas, que eram forçadas a ele por seus pais e presas a ele por todo o poder da lei e dos costumes? Não obstante, algum talento deve existir entre mulheres, como deve ter existido entre classes operárias." (WOOLF, 1985. p. 61-62) 
Woolf chega à conclusão de que "a mulher precisa ter dinheiro e um teto todo dela se pretende mesmo escrever ficção", exorta as outras mulheres a buscar e ansiar pela sua emancipação financeira e autonomia de vida. Essa necessidade é julgada necessária ao se observar o crescimento da literatura de produção feminina após o século XVIII, sendo ampliada no século XIX até desembocar na época vivida pela autora. Virginia também enxergava a oportunidade desigual a que chegava para homens e para mulheres no que tange à educação e acesso a livro do cânone literário, o aprendizado de latim para leitura de Homero, Virgílio, Ovídio e outros nomes da Antiguidade. O caminho que a mulher era obrigada a percorrer deveria ser modificado de compromissos domésticos ao casamento, para o que ela própria talhasse.

"Um Teto Todo Seu" é um poderoso ensaio crítico, originalmente utilizado, em forma mais compacta, em palestras administradas pela própria Virginia Woolf para um público feminino na Sociedade das Artes, em Newnham. Unindo ficção com acontecimentos reais, sua relevância para o contexto da época e, por que não, para os dias de hoje ainda, é algo transformador, esclarecedor da condição feminina e convidativo para a reflexão e para a mudança.

Douglas P. Coelho

Referência Bibliográfica:
WOOLF, Virginia. Um teto todo seu. Tradução de Vera Ribeiro. São Paulo: Nova Fronteira, 1985.

Você pode ler o ensaio completo clicando AQUI.

sexta-feira, 7 de setembro de 2012

O Cidadão Desconhecido, de W.H. Auden

Wystan Hugh Auden foi um importante poeta anglo-americano que possuía um perfil bastante contestatório. Auden escrevia sobre vários temas que incomodavam a opinião pública e o governo, falava sobre guerras, a burocracia moderna, bordéis e sexualidade. Homossexual assumido e integrante de políticas socialistas de esquerda, deixava transparecer, mesmo que implicitamente, esses temas em sua poesia. Porém, depois que atingiu certa idade, Auden se converteu ao Catolicismo, dando mais espaço à religião na sua obra.

Em um de seus poemas mais conhecidos, O Cidadão Desconhecido, ele trata da padronização e burocratização do mundo contemporâneo. A palavra "desconhecido" pode ser considerada irônica, já que toda a vida do cidadão é descrita no poema através de informações de empresas, institutos, órgãos e imprensa, o cidadão é desconhecido pelo nome, mas sua vida é bastante comum à dos outros e bastante controlada pelas ferramentas do meio onde vive. No final, ele crava uma frase arrebatadora: "Era livre? Era feliz? A pergunta é absurda: se algo estivesse errado, com certeza teríamos sabido".

Para ler o poema traduzido para o português por João Ferreira Duarte, clique AQUI.

Douglas P. Coelho
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